Paraguay: Deforestación masiva y tierras fiscales en manos de extranjeros
- Boletín Ñane Ñe'ë
- 05 February 2019
Denuncian extranjerización de tierras fiscales en el Alto Chaco
Denuncian extranjerización de tierras fiscales en el Alto Chaco
Entretien avec Eloïse Maulet de l'ONG ReAct sur les conflits fonciers autour des plantations du groupe SOCFIN, dans lequel le groupe Bolloré est actionnaire
In California's wine country, Harvard University's multi-billion dollar endowment is looking to take advantage of water scarcity.
Outre le fait d'être responsable d'accaparement des terres, il est reproché à Feronia, le mauvais traitement de ses employés qui sont payés moins d'un dollar par jour.
L'entreprise canadienne d'agrobusiness Feronia illustre la difficulté qu'ont les agences européennes en charge du développement à contrôler les projets qu'ils soutiennent ou financent.
Jean-François Mombia de RIAO-RDC est formel : « L'Etat ne peut pas octroyer des contrats ni d'emphytéose ni d'occupation d'une concession sans que les communautés ne donnent leur consentement. »
Es lo que presume la Unión de Comunidades Indígenas de la Nación Yshir (UCINY) que la semana pasada realizó su Asamblea General.
La convergence des luttes pour la terre et l’eau recommande aux différents pays d’Afrique de l’Ouest d’impliquer les communautés dans la gestion des terres et donc leur accord éclairé sur l’arrivée de grands exploitants agricoles ou miniers.
En RDC, neuf communautés villageoises ont déposé plainte contre la société canadienne Feronia auprès de la Banque de développement allemande. Ils dénoncent le vol illégal de leurs terres. On en parle avec Jean-François Mombia Atuku, représentant de RIAO-RDC.
Une délégation du parlement allemand vient d'effectuer une mission de contrôle des activités de l’entreprise Plantation et Huilerie du Congo PHC/Feronia. Reportage de Radio Okapi.
Ce matin, Marie-Thérèse est sur le terrain en reportage dans un village au cœur d'une immense plantation de palmiers à huile de la Socapalm.
Une étude réalisée par l’économiste Mays Mouissi et le défenseur de l’environnement Marc Ona Essangui analyse l’impact économique, social et environnemental des projets d’Olam au Gabon