Me Fiodor Rilov, avocat des plaignants, exhibe le droit cambodgien accordant aux «communautés indigènes» des droits d’occupation des sols ancestraux pour y pratiquer «collectivement un style de vie, sur le plan ethnique, social, culturel et économique». Qui vaudrait donc titre de propriété, avant que l’Etat cambodgien ne concède ces terres à un exploitant industriel et occidental. (Photo : GRAIN)
Me Fiodor Rilov, avocat des plaignants, exhibe le droit cambodgien accordant aux «communautés indigènes» des droits d’occupation des sols ancestraux pour y pratiquer «collectivement un style de vie, sur le plan ethnique, social, culturel et économique». Qui vaudrait donc titre de propriété, avant que l’Etat cambodgien ne concède ces terres à un exploitant industriel et occidental. (Photo : GRAIN)