Venu tout exprès du Cameroun, il sera présent, le 3 avril prochain, au Tribunal de Grande Instance de Nanterre qui examinera la plainte pour diffamation déposée par l’homme d’affaires, furieux contre le documentaire que lui avait consacré France 2, en 2016
Un candidat indépendant, défendant les droits des communautés locales affectées par les activités du groupe agroindustriel SOCFIN dans la chefferie de Malen, a été élu au Parlement national.
Cette décision est importante en ce qu’elle réaffirme l’actualité des problèmes fonciers sur les plantations agro-industrielles des groupes Socfin et Bolloré.
Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé jeudi trois médias et deux ONG poursuivis en diffamation par la Socfin, une holding luxembourgeoise propriétaire de plantations en Afrique et en Asie et dont le groupe Bolloré est actionnaire.
"Je ne connais pas de journaliste qui ait été dans ses plantations au Cameroun qui n'ait pas été attaqué."
Le groupe public a qualifié les procès intentés par le Groupe Bolloré de "procédures-baillons", visant à intimider les journalistes qui souhaiteraient enquêter sur ses activités.
Aujourd'hui se tient au Tribunal de Commerce de Paris l'audience du procès intenté par Vincent Bolloré à France 2 pour un numéro de Complément d'Enquête consacré au milliardaire français.
A l’occasion de la journée internationale de la femme qui se célèbre ce 8 mars, les femmes vivant près des grandes plantations de palmier à huile, d’hévéa et de banane au Cameroun ont décidé de crier à l’aide face aux souffrances qu’elles endurent au quotidien
Dans plusieurs localités du Cameroun, les femmes sont fouillées jusqu’à leur intimité, violentées, torturées et trainées en justice parce qu’elles détiennent quelques noix de palme, dénoncent les riveraines.
- Scoops d'Afrique
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08 Mar 2018
Affaire(s) Fabri, nouvel épisode: la cour d’appel a pris le contre-pied des premiers juges et permet la tenue d’un nouveau procès, qui se poursuivra ces prochaines semaines.
Cette fin de semaine se tenait un procès qui a opposé des journalistes et des ONG à la Socfin, une holding propriétaire de plantations en Afrique dont le groupe Bolloré est actionnaire. Le parquet de Paris a requis la relaxe.
Le parquet de Paris a requis vendredi la relaxe des médias et ONG poursuivis en diffamation par la Socfin, une holding propriétaire de plantations en Afrique et en Asie et dont le groupe Bolloré est actionnaire.