Le président ivoirien Alassane Ouattara a déclaré ce mercredi à Abidjan, lors de l’ouverture officielle de la septième édition du Forum pour la révolution verte en Afrique, que la sécurisation et l’accès au foncier demeurent problématiques pour la plupart des pays africains.

Une délégation internationale voyagera dans la région brésilienne de MATOPIBA pour documenter l’impact des acquisitions de terres à grande échelle.

Petition à signer pour demander aux grands distributeurs suisses qu’ils réduisent le nombre de produits contenant de l’huile de palme de leur assortiment.

Le désengagement du PCN belge du Dossier SOCAPALM montre non seulement les limites des Principes Directeurs de l’OCDE, mais aussi et surtout la faiblesse de nos pouvoirs publics devant la toute-puissance des multinationales

Face au coût écologique et humain de l'huile de palme, Pain pour le Prochain et Action de Carême demandent aux grands distributeurs de réduire les produits qui en contiennent.

le gouvernement brésilien de Michel Temer (droite) a publié un décret ouvrant la voie à l’exploitation minière par des compagnies privées d’une vaste zone de plus de 46 000 Km2, un territoire plus grand que la Suisse, au sein de la forêt amazonienne.

Dans le cadre de l’octroi de dix mille hectares à des Marocains, le collectif des habitants de Dodel, dans le département de Podor, a déposé son recours devant la chambre administrative de la Cour suprême, le lundi 28 août 2017.

Un projet pilote destiné à encourager les investissements agricoles responsables a été lancé en République démocratique du Congo (RDC).

Suite à une visite sur le terrain, un expert de l’Onu dénonce la faible protection des droits fonciers des communautés locales face aux multinationales comme la société luxembourgeoise Socfin.

"Le journal Le Monde donne la voix aux sempiternelles mêmes interlocuteurs dont l’inanité des propos a depuis longtemps été démontrée," dénonce la Socfin

En Ouganda, un changement constitutionnel sur le droit des terres fait polémique.

Depuis juin, 68 conseils municipaux du Bas-Saint-Laurent ont entériné une résolution visant à limiter à 100 hectares par année la superficie de terres agricoles qui peuvent être achetées par une société ou un particulier.