Coca-Cola ne convainc pas sur l'expropriation des terres-experts
- Reuters
- 25 Mar 2015
Coca-Cola devra travailler davantage pour prouver que ses embouteilleurs et ses fournisseurs de sucre ne violent pas les droits fonciers.
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Coca-Cola devra travailler davantage pour prouver que ses embouteilleurs et ses fournisseurs de sucre ne violent pas les droits fonciers.
Senhuile SA, le très contesté consortium agroalimentaire italo-sénégalais, propriété du groupe financier Tampieri, de Faenza, fait à nouveau parler de lui. Et ce c'est pas pour une bonne nouvelle.
Les expropriations foncières en Mauritanie ne visent que les terres contrôlées par les Noirs du pays, négro-africains et haratines, toujours au profit de la couche arabe beydane (maures blancs).
Ce guide vise à attirer des investissements dans l'agriculture tout en assurant que ceux-ci contribuent à sortir les gens de la pauvreté, participent au développement rural et protéger l'environnement.
Selon le ministre sénégalais de l’Agriculture, le Sénégal ne doit « pas accepter un marché foncier rural car la terre pourrait être achetée par d’autres et les Sénégalais se replieraient dans les grandes villes. »
Une bataille judiciaire a été déclenchée entre l'ancien directeur général de Senhuile, Benyamin Dummai, et Tampieri Financial Group.
Des acteurs de la société civile sénégalaise ont plaidé, mardi à Dakar, pour une synergie et un combat harmonisé de toutes les parties prenantes à la lutte contre l’accaparement des terres, afin de mieux se faire entendre.
Selon Québec solidaire, l'accaparement de terres agricoles par des sociétés millionnaires change radicalement le modèle agricole québécois.
"Quand certains pays rachètent en masse des terres agricoles, ils les utilisent, à terme, de manière détournée en spéculant sur les changements climatiques," constate la députée française.
Le milieu municipal endosse l’idée d’instaurer un moratoire sur l’accaparement des terres agricoles le temps de documenter le phénomène.
L’Union des producteurs agricoles voudrait que le gouvernement limite à 100 acres par année, soit l’équivalent d’une terre moyenne, l’acquisition de terres.
Un tiers des acheteurs des propriétés viticoles du Bordelais, en France, sont des investisseurs chinois