Le ministre délégué au Développement a publié fin mai une liste de 17 paradis fiscaux par lesquels l’Agence française de développement ne passera plus. Une avancée, certes, mais qui « oublie » l’Île Maurice.
Issad Rebrab voit dans les terres agricoles de l’Afrique d’immenses opportunités d’investissements pour assurer la sécurité des approvisionnements alimentaires de l’Algérie.
- Maghreb Emergent
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29 July 2013
Pour M. Ritter, la solution de l'auto-approvisionnement alimentaire réside dans la conclusion d'accords avec des pays qui disposent de beaucoup de terres cultivables et auprès desquels la Suisse pourrait s'approvisionner en cas de crise.
Ces derniers mois, trois nouvelles ont confirmé que les crises alimentaires de 2008 et 2011 étaient non seulement vouées à revenir, mais qu’en fait, elles n’ont jamais pris fin. Et elles ne sont pas près de finir.
Au Sénégal, les cessions de terres sont souvent très mal vécues par les populations, des zones rurales surtout, qui, assez souvent, ont tendance à dénoncer un « pillage organisé » de leurs ressources.
Déclaration de la Plateforme des Organisations de la Société Civile oeuvrant pour le foncier (SIF) à Madagascar
L’agrobusiness ne doit pas se faire au détriment de la concertation qui promeut un climat de paix et d'apaisement pour tous les acteurs du monde paysan.
D'ici à 2030, le petit émirat souhaite ne plus dépendre des autres Etats pour nourrir sa population. Réaliste ou utopique?
Les firmes agro-industrielles qui achètent lee terres en masse, veulent rentabiliser rapidement. Leur stratégie : développer la monoculture d'exportation. Un choix qui ne serait pas sans danger pour l'environnement.
Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale, les pays africains pourraient mettre fin aux « accaparements des terres » s’ils parviennent à moderniser le droit foncier et la gestion des terres
Le coordinateur national de la CCVC a aussi dénoncé le pillage des ressources du sous sol par des sociétés minières étrangères, l'impunité des crimes et l'accaparement des terres des paysans.
La Banque mondiale vient de publier un rapport chiffrant à 4,5 milliards de dollars l'effort financier qui doit être fait pour accélérer le processus de sécurisation foncière en Afrique sub-saharienne.