Les péquistes demandent au ministre de l’Agriculture du Québec d’être « cohérent » sur la question touchant l’accaparement de terres agricoles.

Des fonds d'investissement achètent des terres agricoles pour profiter de leur rendement ainsi que des généreuses garanties du gouvernement, une situation que déplore le Parti québécois.

Selon Clara Jamart, responsable des questions d’agriculture et de sécurité alimentaire pour Oxfam France, la solution serait d’attribuer des certificats de droit foncier d’usage à des groupes.

La Caisse de dépôt et placement du Québec se lance à son tour dans la déferlante d’investissements des fonds de retraite dans les terres agricoles.

Après l'ONG internationale GRAIN et le projet universitaire Land Matrix, l'entreprise française Trendeo s'apprête à lancer un observatoire mondial des achats de terres destiné à suivre en temps réel l'actualité des transactions foncières.

Cent vingt-quatre pays ont adopté à Rome, vendredi, des règles de bonne gouvernance foncière pour l'achat et la location de terres à grande échelle. Un « premier pas » pour protéger les populations locales et défendre leurs droits fonciers.

Le comité de sécurité alimentaire mondiale de la FAO a adopté vendredi 11 mai un document visant à encadrer l'achat de terres à travers le monde.

La Via Campesina demande en urgence à tous les gouvernements réunis à Rome cette semaine afin d'adopter les Directives volontaires sur les régimes fonciers de condamner la pratique des accaparements de terres, qui déplace actuellement des millions de paysannes et paysans partout dans le monde.

Le Grand Débat, avec Mathieu Perdriault, Chargé du développement et de projets de l’association Agter, et Samuel Nguiffo, Directeur de l’ONG le Centre pour l’Environnement et le Développement du Cameroun

Le premier ministre éthiopien, Meles Zenawi, a démenti mercredi que l'allocation de terres cultivables à des projets d'investissements privés se traduisait, dans son pays, par des évictions forcées d'agriculteurs.

Les paysans congolais expriment leur inquiétude devant la vague de vente à outrance des terres qui traduit une mauvaise gestion des espaces que l’on veut faire croire abandonnés.

Les terres agricoles sont devenues un produit financier au même titre qu’une action cotée en Bourse, selon le professeur Louis Hébert de HEC-Montréal