Un rapport accablant, produit par un « think tank » américain, accuse la SFI, filiale de la Banque mondiale, de faciliter « l’accaparement des terres » en Afrique
Les appropriations de terres agricoles à grande échelle posent de façon aigüe et urgente la question de la reconnaissance des droits sur la terre des exploitations familiales
"Dans la mesure où je peux en juger, la résistance est petite dans les régions concernées. Il se forme plutôt une résistance internationale," estime un journaliste suisse.
Le Fonds pour l’agriculture en Afrique sera financé par la Banque africaine de développement (Bad) et l’Agence française de développement (AFD) à hauteur de 40 millions de dollars chacun.
De nombreux paysans camerounais désapprouvent la politique gouvernementale visant l’octroi de vastes espaces cultivables à des investisseurs étrangers
- Journal du Cameroun
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17 May 2010
AgroGeneration, groupe agricole spécialisé dans la production de céréales et d’oléagineux en Ukraine, a produit 55 000 tonnes de céréales (blé, maïs, orge, colza, tournesol) en 2009, contre 18 000 tonnes un an plus tôt.
Les craintes soulevées par la possible vente massive de terres agricoles du Québec à des intérêts chinois sont exagérées selon une étude du Mouvement Desjardins.
Le Conseil des ministres a adopté hier le projet de loi fixant les conditions et modalités d’exploitation de terres agricoles relevant du domaine privé de l’Etat. L’ouverture au partenariat étranger est exclue.
La nouvelle loi algérienne sur l’exploitation des terres agricoles consacre deux principes majeurs : la concession d’une durée de seulement 40 ans renouvelables et l’exclusivité de la jouissance aux Algériens.
La Convention a recommandé l’élaboration d’un système de suivi et d’alerte permettant de fournir aux plateformes des bases réelles de mobilisation sociale des exploitations familiales agricoles pour limiter voire enrayer l’accaparement des terres de la région.
Même si l’ampleur des dégâts n’atteint pas encore celle des 28 Etats africains déjà durement frappés par l’accaparement des terres, il n’en demeure pas moins qu’en Côte d’ivoire, le phénomène existe.
La Banque mondiale entend poursuivre ses efforts pour favoriser l’accaparement mondial des terres et refuse de publier une étude confirmant les effets néfastes de ces transactions sur les communautés locales.