En France, la loi Sempastous ne traite qu’un pan de la problématique foncière agricole et on est en droit de se demander s’il ne conviendrait pas d’en envisager une autre de plus grande ampleur, explique Marc Dufumier
- Alternatives économiques
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25 January 2022
Le Cadre de réflexion et d’action sur le foncier au Sénégal (CRAFS) refuse de rester silencieux face à l’accaparement des terres à usage agricole.
- Dakar Actu
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24 January 2022
Dans le souci d’une gouvernance foncière responsable en Guinée, le Collectif des organisations de la société civile pour la défense des droits des communautés impactées par les projets de développement en Guinée (CODEC) vient d’adresser un « mémorandum de plaidoyer » aux autorités guinéennes.
- Guinée Matin
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24 January 2022
Le Cadre de réflexion et d’action sur le foncier au Sénégal (Crafs) soutient mordicus que le domaine national, en particulier les terres à usage agricole, doivent rester un patrimoine national non cessible pour l’intérêt des communautés présentes et futur
Les organisations de la société civile d’Agadez dénoncent les accords signés entre les deux communes au Niger et African Agriculture Inc et son partenaire Agro Industries Corporation
- Aïr-Info Agadez
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22 January 2022
BFC est une ferme commerciale irriguée de 356 hectares qui a été développée par AgDevCo à partir d'un terrain vierge comme preuve de concept pour attirer des investisseurs vers une autre concession agricole
- Commodafrica
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18 January 2022
Les attestations de possession et/ou de détention prévues par la loi sur le foncier agricole peuvent désormais être transformées en titre foncier
L’une des réformes majeures pour sécuriser le foncier agricole au Togo a été la création et l’aménagement des Zones d’aménagements agricoles planifiées (ZAAP) à l’échelle nationale.
- Agridigitale
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16 January 2022
En début de 2022, les violations des droits des ouvriers continue à battre son record sans aucun égard par les agents de la Société FERONIA/PHC œuvrant dans la plantation de Boteka, Province de l'Equateur en RD Congo.
Quelque 145 Camerounais ont été déboutés vendredi par la justice française alors qu’ils souhaitaient contraindre le groupe Bolloré à fournir des documents censés établir ses liens avec une société camerounaise qu’ils accusent d’attenter à leurs droits.
L’enjeu du délibéré, ce vendredi 7 janvier, est de permettre à la justice d’établir la responsabilité de Bolloré sur les activités de cette filiale camerounaise de Socfin, la maison-mère commune.
La justice française doit statuer dans le cadre d’une affaire opposant 145 Camerounais au groupe Bolloré, accusé de non-respect des droits humains et environnementaux dans des plantations d’huile de palme.