Senegalese agro-pastoralists are striking wins against Senhuile SA, a foreign-owned agribusiness company established in Ndiaël, Saint-Louis Region of Senegal.
- Oakland Institute
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02 September 2016
Le groupe agroalimentaire, toujours piloté d’une main ferme par Jean-Claude Mimran, se lance dans les mines africaines. Enquête et entretien exclusif de Jeune Afrique.
- Jeune Afrique
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29 August 2016
Les parlementaires sénégalais discutent de l'accaparement des terres et la réforme fonciére
- Sud Online
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25 August 2016
Un litige foncier oppose les habitants de Diokoul Diawrigne, au Sénégal, au conseil municipal de la communauté rurale. A la base, la décision d'attribuer à la société Senegindia 1 000 ha.
- Enquête Plus
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17 August 2016
Les populations estiment qu’elles sont laissées en rade par l'Etat sénégalais et refusent de céder une partie de la zone à cette filiale de Tampieri Financiel Group (Italie).
Les villageois du Ndiael, au nord du Sénégal, vont occuper les terres attribuées à Senhuile
- L'Observateur
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01 August 2016
Les populations vont s'installer et occuper les terres attribuées à Senhuile jusqu'a ce que l'Etat se les attribue officiellement. Point presse avec les communautés.
La société d’agrobusiness Senhuile a accepté de verser à l’État sénégalais la somme de 1,1 milliard de francs CFA après qu’elle a été prise en flagrant délit de fraude douanière.
Une dizaine de villages de la commune de Ronck (Sénégal) qui s’activent dans la riziculture sont montés au créneau pour alerter l’Etat après une tentative d’expropriation de leurs terres par Sen Huile
L’atelier national sur la Réforme foncière et l’accès des femmes à la terre, organisé les 28 et 29 juin derniers à Dakar par le CNCR, a été un véritable mur de lamentations pour les nombreux producteurs venus des différentes régions du Sénégal.
Pour la Commission nationale de réforme foncière, il faut immatriculer toutes les terres du domaine national au nom de l'Etat. Pour la société civile, cela conduira à une marchandisation des terres.
"Ces terres sont nécessaires si on veut passer de 150 000 à 200 000 tonnes de sucre", insiste le directeur-général André Froissard