Le gouvernement camerounais cède le complexe sucrier de Justin Sugar Mills de 32 000 ha à d'autres investisseurs.
- Agence Ecofin
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24 November 2014
The Bolloré company and the Transnational Alliance of Local Communities of the plantations controlled by the group held a negotiation session during which several commitments were made to resolve local land conflicts.
L'alliance des paysans monte à Paris mais déplore l'absence d'un représentant de Socfin, basée au Luxembourg.
- Afriquinfos
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29 October 2014
Les représentants africains et cambodgiens sont venus demander au groupe Bolloré et à la Socfin de rétrocéder des terres et de stopper les expansions foncières.
C'est une première. Ces négociations ont impliqué des représentants venus de Sierra Leone, du Liberia, du Cameroun, de Côte d'Ivoire et du Cambodge.
- Le Point Afrique
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25 October 2014
"La reconnaissance par le groupe Bolloré des principes et accords violés par la Socfin représente une première avancée", se félicite les représentants de l’Alliance des riverains des plantations Socfin-Bolloré
L'alliance des paysans riverains de Socfin, qui représente plusieurs milliers de paysans du Cameroun, de Sierra Leone, de Côte d'Ivoire et du Liberia, a rencontré le Groupe Bolloré dans un hôtel parisien.
- Jeune Afrique
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24 October 2014
C'est une première sur la question des accaparements de terre. Des représentants venus d'Afrique et d'Asie négocient dans un hôtel aujourd'hui à Paris avec le groupe Bolloré.
- Ouest France
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24 October 2014
Vendredi 24 octobre, les représentants des communautés issues de 5 pays (Cameroun, Cambodge, Libéria, Côte d’Ivoire et Sierra Leone) touchées par les accaparements de terre ont rendez-vous à Paris avec le groupe Bolloré pour entamer les négociations.
L'irruption dans l'agrobusiness d'un milliardaire indien de l'informatique donne une image inquiétante du rôle actuel de la finance dans l'agriculture
An IT billionaire's foray into agribusiness paints a disturbing picture of today's farmland financiers.
"Nous avons appris en Afrique que ce n'est pas parce que le gouvernement vous accorde une concession que vous allez pouvoir travailler comme vous l'entendez. Il faut d'abord obtenir l'autorisation des populations locales."
- Jeune Afrique
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02 October 2014