On March 25, 2025, the people living in Apouh A Ngog village in the Litoral Region of Cameroon witnessed a brutal and traumatising act of intimidation : heavily armed government forces, including heavily armed soldiers and gendarmes arriving to supervise the replanting of oil palms by staff of SOCAPALM, part of the multinational corporation Socfin Bolloré.
Le 25 mars 2025, les habitants du village Apouh À Ngog, dans la région du Littoral au Cameroun, ont été témoin d'un acte brutal et traumatisant: des forces gouvernementales composées de militaires, de gendarmes lourdement armées ont investi le village pour encadrer le replanting du palmier à huile par le personnel de la SOCAPALM, partie de la multinational Socfin Bolloré.
The World Bank unit's "action plan" is an attempt to respond to its own compliance advisor's recommendations on issues ranging from land grabs to sexual exploitation on the plantation.
Une série de rapports, publiés le 14 février 2025 par Earthworm Foundation, révèlent de nouvelles allégations de harcèlement sexuel et de spoliation des terres entre autres dans les plantations de la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm), filiale de Socfin.
Bolloré détient une partie du groupe agroindustriel Socfin, qui produit de l'huile de palme et du caoutchouc en Afrique et en Asie. Si le groupe est connu pour s'accaparer les terres, les violences sexuelles et sexistes qui en découlent le sont beaucoup moins. Enquête de Lola Keraron pour la Revue Silence au Cameroun.
Since 2021, Socapalm – majority-owned by Socfinaf, a Luxembourg holding itself part owned by the Bolloré Group – has been replanting palms to rejuvenate its plantation at Edéa, in Cameroon, creating tremendous difficulty for neighbouring villagers.
Depuis 2021, la Socapalm – qui est détenue majoritairement par la Socfinaf, une holding luxembourgeoise détenue en partie par le groupe Bolloré – replante des palmiers pour rajeunir sa plantation à Edéa, au Cameroun, créant d'énormes difficultés pour les communautés riveraines.
Enquête sur les violences sexuelles et sexistes dans les plantations du groupe Socfin au Cameroun
WRM a créé cet épisode avec des témoignages de femmes qui souffrent des impacts des plantations industrielles.
Le 21 septembre, tous les défenseurs des droits des communautés vivant autour des grandes plantations de monoculture, et en particulier les riveraines victimes, marquent systématiquement un temps d’arrêt.
When the industrial agriculture investor Agilis Partners targeted the lands of Kiryandongo for its investments, residents never knew that the company would empoly several tactics to force them out. One of them was sexual violence.
L'Association des Femmes Riveraines d'Edéa (AFRISE), au Caméroun, a recueilli 316 signatures de soutien dans sa lutte face à la Socapalm, du groupe Socfin
