Entretien avec l’ingénieur Ignace Bwaya Biza , consultant à la Confédération paysannes du Congo (COPACO/PRP).
- Radio Okapi
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17 April 2024
H&M et Zara sont mis en cause par l'ONG britannique Earthsight pour être liés à des activités de déforestation illégale ou de violence dans des plantations de coton détenues par leurs sous-traitants.
La société belge de plantations SIAT est définitivement passée aux mains de la société Oak & Saffron Limited, filiale du groupe nigérian Saroafrica.
Les sociétés de crédit carbone expulsent des communautés à travers l’Afrique.
- Observatoire de l'Europe
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09 April 2024
Depuis 2022, l’État malgache s’est considérablement investi pour sécuriser les parcelles des paysans. Désormais, il souhaite également sécuriser des terrains en son nom.
Lettre ouverte de l'Association des Femmes Riveraines de la SOCAPALM d'Edea (AFRISE), au Cameroun, contre le replanting des palmiers à huile
Des ONG affirment qu'un processus de médiation des banques de développement allemande et néerlandaise contraint des communautés à renoncer à leurs droits fonciers et à accepter l'occupation continue de leurs terres par une société de huile de palme, sans avoir eu le temps, les ressources, la sécurité et le soutien juridique nécessaires pour défendre leurs intérêts.
- RIAO-RDC et al.
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04 April 2024
En France, le projet de loi d’orientation agricole prévoit la création de groupements fonciers agricoles d’investissement. Ces fonds d’investissement seront en mesure de faire appel à l’épargne pour racheter le foncier agricole. On parle d’un risque de financiarisation.
- Ouest France
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03 April 2024
Un nouveau business, porté notamment par des multinationales françaises, est en train de voir le jour dans le bassin du Congo, et en particulier au Congo-Brazzaville : de gigantesques plantations forestières sont créées pour générer des crédits-carbone valorisables sur le marché volontaire du carbone ou destinés à compenser des émissions de CO2
- Afrique XXI
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01 April 2024
Les plaignants dénoncent l’expropriation de leurs terres. Selon des ONG camerounaises, le versement de cette somme aiderait à réaliser des projets communautaires.
Selon le journal Le Mbandja, la holding belge, qui était présentée comme une passerelle vers la diversification de l’économie gabonaise, n’a rien investi et ses différents champs sont actuellement investis par de hautes herbes.
L’exploitation des terres par la Socapalm empêche 145 Camerounais d’accéder à des terrains et lieux de sépulture et pollue leur eau. Après des années de procédure, ils ont obtenu 142 000 euros d’une holding qu’ils accusent d’être contrôlée par le groupe Bolloré.